Même pas peur !

Cristaleyes s'étirait et baillait de tout don soul. Etendue sur un lit dont le matelas etait eventré, tâché çà et là de sang, elle somnolait aux côtés de ce qui venait d'être don client et don repas.
Ce n'était pas la premiere fois que qu'elle venait ici, dans ce fabuleux hôtel, fermé depuis plusieurs decenies. Tout medium doté de bon sens ne serait jamais entré ici, tant les presences mortuaires affublaient. Mais la lycanne aimait çà, et en rajoutait.
Peut être un jour viendraient-ils lui faire la peau, en attendant, c'était confortable, et elle était sûre ne n'être derangée par personne, du moins jusqu'à aujourd'hui.

Elle se leva, prit la depouille qui gisait sur le lit, et la balanca dans le passe linge. Elle faisait ça chaque fois, mais n'osait pas voir la lingerie, qui devait ressembler à un cimetiere, tout au mieux, une fosse où les rats proliferaient entre les cadavres.
Elle plaignait le jour où un courageux vindrait reabiliter l'hôtel, et decouvrirai le saccage. Maudit à jamais, cette bâtisse resterait. Elle se felicita de faire de ses lieux de passages des mythes, et des lieux de fabulations pour les humains.
De toute facon, les mortelles croyaient aux choses irreelles, mais ne voyait que legendes là où la realité depassait la fiction. Et ce n'était pas ses cris de douleurs durant la pleine lune qu'elle passait enfermée ici, qui ferait revenir les habitants les plus proches.

Encore une belle journée de passé.

Elle regarda par la fenêtre où elle vit que le soleil s'était couché. Elle souria. Après tout, c'était l'heure des vampires, ceux qui l'esquivait à mesure qu'elle les cherchait.
Elle se trouva bien seule, et s'enquit de faire le tour de l'hôtel entier, voir les chambres encore fraichement saines et celles de carnage où la lycanne avait passé ses meilleurs repas. C'était toujours plus exitant quand ils se debattaient, quand ils frappaient, quand on pouvait voir dans leurs yeux la determination à ne pas mourir, alors qu'ils avaient déjà un bras, une jambe ou plus encore dans la gueule de leur destin.
Ressassant ses souvenirs, elle passa à l'acceuil, aux allures vieillotes et s'installa comme si elle avait toujours travaillé là, s'amusant seule des plaisirs simples et de la joie de vivre, se plaisant à imaginer que quelqu'un viendrait peut être pour lui demander une chambre !

Les rayons du soleil venaient de se coucher: l'heure du réveil avait sonné. Vincent sortit brusquement d'un sommeil cauchemardesque dont il ne garda qu'un très vague souvenir. Il se hissa de son lit funèbre et il fut tenaillé par une soif intense. Tout en maudissant son état vampirique, de façon plus ou moins châtiée, il entreprit de se préparer à sa chasse au gibier nocturne.
Lorsqu'il se jugeât dans un condition satisfaisante (une chasse aux mortels ne s'improvise guère malgré ce que disent certains vampires), il sortit de son appartement situé en face d'un pseudo hôtel à moitié délabré.

Lorsqu'il arriva dans la rue, l'air de le nuit le libéra de toutes pensées. Il pouvait encore apercevoir la partie du disque orange bien que les rayons mortels pour lui ne le touche plus. Cela le plongeât dans une profonde nostalgie. Comme il la trouvait lointaine, cette époque où il était encore un mortel...
Tout en marchant, et totalement absorbé dans ses pensées, Vincent laissa son regard errer sur la façade délabrée de l'hôtel. Et quelle ne fût pas sa surprise en découvrant qu'une lumière émanait de la fenêtre d'une pièce! En effet cet hôtel avait la réputation d'être maudit, ce qu'il trouvait bien entendu complètement débile. Peut être était ce un pauvre mortel qui n'avait pas trouvé d'autres endroit où aller ou encore une bande de gamin qui se croyant courageux avait pénétré par effraction dans la bâtisse. Quoi qu'il en soit, Vincent n'avait pas à aller très loin pour son petit déjeuner. Cette idée le rassura et en même temps l'affola comme à chaque fois qu'il allait tuer.

Vincent pénétra alors dans cet lugubre endroit cherchant les malheureux occupants de cet hôtel.

Alors qu'elle l'avait souhaité sans vraiment y croire, il apparut. La louve grimpa sur le bureau de l'acceuil, et s'assit sur le rebord d'une facon habituellement provoquante.

Quand l'élève est fin pret, le professeur apparait.

Tout deux se regarderent, incredules. Elle avait trop eut envie de dire çà en voyant son rêve se realiser.
Au premier abord, elle se dit qu'elle alalit encore bien bouffer mais avant cela se faire plaisir. Mais quelquechose la retenait assise sur son bureau, plutôt que d'aller faire plus ample connaissance.
Des pied sà la tête, ils semblaient se juger mutuellement, cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas fait de rencontre de ce genre. Le teint trop pâle, des yeux rouges, elle aurait mit sa main à couper qu'il n'était pas humain et pourtant...ce n'était pas une âme translucide il semblait bien fait de chair et d'os.
Puis elle ne resista pas plus longtemps, s'il était vampire, elle le saurait très vite. Elle descendit lentement du bureau, lui ne boueait pas. Rien qu'en s'approchant on sentait l'atmosphere refroidir, un frisson de plaisisr la parcourut.

Allez, montre moi tes belles canines...

Au pire si c'était un humain, il n'aurait pas compris, au mieux, si c'était un vampire il l'aurait ou attaqué ou fuit. Elle attendait sa reaction sans trop se faire di'dée. Elle n'avait pa speur, bien qu'il ne semblat genetiquement pas eloigné de son propre âge.

Vincent cacha in extrémis sa stupeur en voyant débarquer une rousse pulpeuse à la place des barbouzes qu'il s'attendait à trouver. Il ne put s'empêcher de la regarder des pieds à la tête. Son attitude provocante, sa tenue et et sa façon d'être en général avaient quelques chose d'ambiguë: cette femme était à la fois effrayant et immensément désirable, un peu comme une diablesse. Pour ne rien gâcher de ce beau tableau, elle était ironique.
La dernière remarque de la "prédatrice" avait beaucoup gêné Vincent bien qu'il garda une expression des plus blasées. En effet, celle ci sous entendait que son interlocutrice avait saisi la véritable nature de Vincent. Certes ce n'était pas très difficile mais on voyait tellement de "gens particuliers" à Los Angeles qu'il pouvait tout aussi bien passer pour l'un de ces dérangés. Il décida de faire comme si. Il se ratrapperait après au besoin.

Navré mais je ne vois pas de quoi vous voulez parler.


Par association d'idées, il se remarqua l'aura bizarre qui entourait la femme. A cela s'ajouta une forte odeur de sang. Mais il n'eut pas le loisir de pousser jusqu'au bout ce raisonnement car un cri venait de retentir dans la rue toute proche, ce qui lui avait fait détourner les yeux de sa "partenaire" quelques instants.

Un cri avait fait fdeoptuner les beaux yeux de l'inconnu de Cristaleyes, ce qu'elle n'appreeciat pas beaucoup. Elle identifiat le son sans trop d'efforts, c'était tout proche, et cela devait être un petit mortel perdu qui avait vu de la lumiere.
Elle passa deriere l'homme mysterieux, dont elle était sûre à présent que sa nature vampirique était veridique. La reaction minime de l'interlocuteur avait suffit pour la convaincre et avant d'en jouir interieurement elle pensa qu'il valait mieux aller voir d'où venait les cris. Quand la bouffe vous appelle, pourquoi la laisser crier davantage ?

Si mon dessert ne m'appellait pas, j'aurais bien tenté de mettre ma langue entre les deux canines que tu ne veux pas montrer.

Elle n'avait pas trouvé mieux comme incitation à le faire suivre, et après tout, elle n'en pensait pas moins. Mais la voilà déjà sortie, dans la rue d'où provenait l'interpellation soudaine. Elle était sûre d'elle, bien disposé à ecarteller celui qui avait fait fuir le regard couleur de sang de son precieux hôte.

Rue prêt d'un hôtel fin moche

Vincent n'était pas sûr d'aimer l'humour, voir d'aimer tout court son interlocutrice. Le genre "humour foutage de gueule" déplaisait fortement à Vinecent et le fait qu'elle l'ait cerné en moins de 10 min lui mettait une honte olympique. De plus, les dernières paroles qu'elle lui avait dite avait fait toute la lumière dans son esprit: c'était une lycanne, une race qu'il avait particulièrement en horreur.
Enfin... quoi qu'il en soit avant qu'il n'ai pu répliquer quoi que ce soit, elle était déjà partie, prendre son "dessert"

Pauvre mortel ne pût s'empêcher de penser Vincent.

En effet cela promettait une relativement belle boucherie. Au moins celui qui se ferait tuer par elle aurait une jolie vue avant sa mort. Il sorti sans se presser, répondant ainsi à l'invitation de la lycanne. Après tout, pourquoi n'y aurait-il que elle qui puisse satisfaire ses besoins vitaux? De plus le spectacle promettait d'être divertissant et cela lui permettrait aussi de juger sa force à elle en cas de besoin.
Peut être aussi avait-il le secret espoir de sauver dans sa grande bonté un mortel en perdition...

rue près d'un hôtel fin moche

Rue pret d'un hotel fin moche

Cristalyes se ramenait avec le mortel dans les bras. Elle ignorait quand il se reveillerait mais tacherais d'en prendre soin, le temps de savoir quoi en faire.
Elle monta le plus haut possible dans els chambres où elle n'était jamais allé, le plus loin possible de l'odeur fetide de la lingerie souterraine, pour ne pas faire vomir le mortel à son reveil.
Elle le deposa sur un lit, et lui trouva un certain charme. Il etait frele et mignon, mais pourquoi avait-il crié cette nuit dans un quartier aussi mal famé ?
Elle passa sa main sur son front, comme un medecin l'aurait fait, mais sans reelement savoir pourquoi. Elle lui aprlait, comme si c'était son enfant, un enfant malade qui aurait besoin d'un soutien moral.

"Quel con ce vampire. Mais t'es pas bien malin toi aussi !"

Elle etait alors assise pret de lui, et se dit qu'elle n'avait pas d'eau sous la main, pour l'hydrater. Ni à manger...
Elle soupria, et se dmanda si les deux autres allaient suivre, le vampire pour recuperer sa proie, et la lycanne par simple justice. En pensant à cette Emilie, elle se dit qu'elle etait bien plus heureuse en TRAITRE qu'aux bottes d'un clan qui n'apprenait même pas à ses petits comment traiter un mortel.

Yuko se sentait transportée.

On n’a pas idée de bouger un mourant...

Elle entendit une voix, celle de... de Cristaleyes. Elle lui disait qu'elle n'était pas très maline... Mais ça, elle le savait déjà... Mais Cristaleyes avait dit "malin", pas "maline", ce qui en soi était déjà un point positif. Elle se rappela alors de la question de la jeune lycan. Quelle idée avait-elle eu de la déshabiller?! De plus, elle portait ses bandes de compression... Comment avait-elle réussi à deviner qu'elle était une fille? Elle essaya de se rappeler du nom d'un syndrome en particulier... Celui de Turner? A moins que ce ne soit celui de Klinefelter... Oui, Klinefelter... Un type de problème génétique affectant à peine un garçon sur 850... Les caractères sexuels primaires et secondaires sont peu développés, ce qui signifie une certaine féminisation... Oui, cela pourrait expliquer sa légère poitrine, et, tant qu'on ne la déshabillait pas entièrement, cacher son vrai sexe.

Je lui dirais ça... Si elle me repose des questions...

Elle entreprit d'ouvrir les yeux, et réussit à entrevoir la rousse. Après des efforts surhumains, elle réussit à souffler un vague merci à celle qui, quelques minutes auparavant, avait essayé de la tuer, et qui, à présent, se retrouvait à jouer à l'infirmière.

Cristaleyes n'avait pas rêvé, ca semblait bouger dans la ptite tête du mortel. De plus, elle avait entendu dans un leger merci, que son ouïe avait percu, doutant qu'on autre mortel l'aurait pu. Ou avait-elle rêvé ?

"Me remercie pas maintenant, tu sais pas ce que ca va te couter. Et puis, on peut pas dire que tu vailles le coup...moitié mort."

La lycanne était bien à attendre que les autres la suivent. Elle aurait juré qu'ils l'auraient fait, au moins le vampire...ou alors elle l'ésperait plus qu'elle n'en était sûre.
C'était dur de vivre avec une fascination pour les vampires qu'on on était une lycan. Après tout, il s'était permis de voler la proie qu'elle s'était reservé, qui maintenant gisait là, vidé de son sang, dont elle voulait s'occuper.

"Jte donnerai bien un peu de sang, mais j'ai peur du resultat, alors bon, tu devras te debrouiller."

Elle savait que parler à un mur aurait eut peut etre plus d'effet, mais elle se persuadait que le jeune homme l'entendait. Et que peut etre, il finirait par reprendre conscience.

J'arrivai derrière la rousse, le garçon/fille était toujours dans les pommes et respirait faiblement.

"Comment va-t-elle ?"

Question stupide, je vous l'accorde. Je m'éclipsai le temps d'aller chercher mon sac dans la chambre non loin de là et revins. Je sortis une bouteille d'eau et la tendis à la lycanne.

"Donnez-lui à boire, ça ne pourra que lui faire du bien."

rue près d'un hôtel fin moche

Vincent s'apprêtait donc à rentrer chez lui ayant vaillamment gagné sa soirée. Il passa ainsi devant l'hôtel et bien qu'il ne voulut pas, il y jeta un coup d'œil furtif à la lugubre bâtisse. Lorsqu'il aperçu une lumière provenant d'une des chambre, le remord l'assaillit sans faire plus de cérémonie mais Vincent dont le sang froid était légendaire et la maîtrise de soi surprenante passa outre et continua, bien que hanté par ses exploits du début de soirée, son chemin jusqu'à son lieu de villégiature. Tout en marchant, il s'imaginait l'horrible boucherie qui devait avoir lieu dans l'hôtel: Cristaleyes penchée sur sa victime, prenant un plaisir presque obscène à le déchiqueter sans pitié et la victime n'ayant pas la moindre chance de s'en sortir car Vincent l'avait vidé de la majorité de sa vitae.

Il arriva enfin devant chez lui. Il sortit ses clés afin d'entrer dans l'immeuble mais fit brusquement volte face et retournât sur ses pas. S'il ne pouvait expier son crime au moins pourrait-il limiter les dégâts en sauvant sa victime d'une mort prématurée. Dans sa précipitation, il oublia carrément qu'il était en train de fumer jusqu'au moment où il se brûle.

Putain de merde...

Oui, Vincent était des fois très vulgaire...

Il arriav en moins de 2 à l'hôtel et entra précipitamment. Il mit quelques minutes qui lui semblèrent une éternité à localiser la pièce dans laquelle étaient les lycanne et la mortelle. Il courut presque jusqu'à la chambre puis il s'y glissa silencieusement telle une ombre (mauvaise habitude).

Et là la surprise fût pour lui totale. Lui qui s'attendait à un carnage des plus gore, se trouait à regarder les lycannes en train d'essayer de soigner la mortelle. Celle-ci avait l'air vraiment mal et par conséquent les remords de Vincent s'accrurent. Il hésitait à s'approcher pour voir s'il pouvait aider ou pas car il se sentait comme un intru... et vraiment très très mal...

Cristaleyes s''attendait à la venue de deux autres mais pas ainsi. Tout d'abord l'entrée de la lycanne pitoyable avec sa bouteille d'eau, qui finalement était la bienvenue.
Cristaleyes dechira un bout des couvertures jaunâtres resté là depuis trop longtemps, et mouilla le tissu avant de l'étaler sur le front du pauvre mortel.

"Merci, c'est toujours çà..."

La louve était de mauvais poil, tout d'abord parce qu'elle s'était fait devancé mais surtout envers Emilie car elle restait une bannie du clan lycan. Et non que ca la derangeait, la presence des autres la depitait.
Puis vint le bourreau à longues canines, que Cristaleyes sentie arriver au moment il passa la porte de l'hôtel. Etrangement il semblait se sentir presque inquiet, impuissant et desolé. La louve soupira, et se tourna vers lui.

"Si t'es venu achever MON dessert, tu peux repartir aussitôt. Si en revanche t'es venu t'excuser, tu peux aussi repartir. Au quel cas tu en voudrais pas, jvais devoir t'y aider..."

Ses paroles n'étaient plus aussi mielleuses qu'avant, et elle se faisait du mal de parler comme çà au vampire, qui tenant la distance avec elle depuis si peu de temps lui plaisait davantage.
Elle se tourna à nouveau vers le mortel, rehydratant le morceau de tissu, attendant qu'il reprenne conscience. Decidement, elle esperait qu'il parte pas, car de toute facon, elle ne pourrait pas l'empecher de rester.

Les choses avaient l'air de s'améliorer un peu. La louve rousse était passée de la phase "que personne ne touche à mon dessert, j'ai la dalle !" à la phase "que personne ne touche à mon dessert, j'essaie de le sauver !". Je fus sur le point de souffler...lorsque le vampire en rouge revint.

"Si t'es venu achever MON dessert, tu peux repartir aussitôt. Si en revanche t'es venu t'excuser, tu peux aussi repartir. Au quel cas tu en voudrais pas, jvais devoir t'y aider..."

Ce n'était pas tellement le vampire, ni la lycanne qui me faisait peur...plutôt les dégâts que ces deux lascars pourraient faire s'ils leur venaient l'idée de se battre ici. Pour ça, je fis la chose que j'avais dû faire le plus souvent depuis que j'étais à la rue: me faire toute petite et attendre que les choses se tassent, tout en me tenant prête en cas de pépin à sauver ma peau celle du plus de monde possible. Je m'assis sur le sol à côté du/de la mortel(le) et m'employai à me protéger d'éventuelles balles perdues.

"Euh...les mecs...vous trouvez pas qu'il y a un truc bizarre avec le sol ?"

(POST MJ)

Et Emillie n'a pas tout à fait tort. Une fissure bien marquée parcourt progressivement le sol de la pièce, se divisant en plusieurs ramifications. Le sol se met à trembler, puis il lâche tout simplement, précipitant le groupe dans un trou sombre. Ils tombent sur plusieurs mètres avant d'atterir lourdement sur un sol de ciment, dans ce qui ressemble à la chaufferie de l'hôtel. Il fait noir comme dans un four, et tout aussi chaud.

Shinji qui passait non loin de l'hotel entendu un vacarme infernale. Il regarde vers la direction d'où venait le bruit. Des tonnes de grava et de poussière s'éparpiller. Shini décida d'aller voir de plus prés ce qu'il si passait. Il empoigna son pistolet et avança prudemment.

Shinji alluma sa lampe de poche et éclaira les débris. Il déblaya l'entrée. Il descendis vers se qui semblait être la chaudière et, vis 4 corps allongé par terre. Il y avait 2 hommes et 2 femmes. Shinji se précipita sur eux.

"Vous allez bien?" Dit Shinji s'accroupissant

Aucune réponse...

"Hého, si vous m'entendez, bougez la main."

L'homme au cheveux noir eu un semblant de mouvement.

Silver se releva et alla vers l'homme au cheveux bleuâtres.

"Monsieur, est ce que vous m'entendez?"

Soudain, Shinji senti que quelqu'un c'était levé derrière lui...

Cristaleyes avait sentie l'eboulement arrivé mais de là à ce qu'il se produise si vite...Elle n'eut qu'une pensée, retrouvée le jeune mortelle avant quelqu'un d'autre. Seul hic, elle était sous une bonne couche de pierre, ce qui l'etouffait quelque peu.

*Dieu merci, rien n'est en argent ici...*

Puis elle entendit un homme, elle entreapercut un faisceau de lumiere. Une homme était là, vu la voix qui percait l'obscurité ambiante.
Il semblait avoir jeté son devolu sur le vampire sans nom. Le malheureux, elle sentit aussitot qu'il n'était pas immortels, et en fut assuré rien que de penser qu'il s'était inquietait de cette vieille batisse, et approché d'un vampire sans s'en douter et sans le respect qui s'y pretait.
Cristaleyes rassembla ses forces, et après plusieurs reprises, finit par enlever jusqu'au denrier morceau de plafond qui la recouvrait. Dans toute la pièce -si l'on considerait cela encore comme tel- de bruits de gravas tombant, des pierres mal accrochées, ainsi, elle sortie "en silence" et arriva silencieusement deriere le garcon.
De là, on voyait le vampire, qui semblait être conscient, plus loin Emilie mais pas de trace de gringalet souffrant. La chute avait dut le tuer pensa Cristaleyes, mais ce n'était plus sa premiere occupation.
Elle passa rapidement son bras autour du cou du jeune homme, et tenta de le maintenir, et de l'empecher de crier. Il lacha sa lampe de poche sous l'effet de la surprise, qui roula parmi les debris et qui s'eteignit, certainement à cause de la chute ou du manque d'energie des piles. Cela les plongea dans un noir doublement plus inquietant.

"Jvais te laisser parler, mais decline ton identité avant que je ne te ronge les os et la chair qui va autour."

A dire vrai, elle pensait pas reellement avoir à le manger, mais elle preferait savoir son nom des maintenant. Ne pas refaire l'erreur identique qu'avec le prince tenebreux toujours anonyme.
Neanmoins, elle lacha sa bouche, et s'il avait oulu fuir, elle l'aurait laché sans probleme, mais sous l'effet de la stupeur, il ne semblait pas vouloir bouger.

Vincent avait été prêt à répliquer d'une façon méchante mais il fut coupé dans son élan sarcastique par un tremblement de terre ou du moins de sol. S'ensuivit une chute qui sembla infiniment longue bien qu'elle ne dura pas plus de quelques secondes. L'atterrissage fut dur, pour ne pas dire complètement capoté. Néanmoins Vincent se releva avec quelques contusions et bleus mais dans un état globalement satisfaisant.

Puis le mortel avait jailli dont ne sait où. Heureusement pour eux tous, Cristaleyes avait réagit très rapidement et contrôlait désormais l'intrus quitte à lui flanquer la frousse de sa vie... qui, selon l'avis de Vincent n'allait pas durer encore très longtemps au vu du tempérament fougueux de la louve.

Remerciant le don de nyctalopie dont était pourvu les immortels, Vincent put avoir un aperçu de ce qui semblait être un début de jugement dernier. Heureusement, tout le monde avait l'air plus ou moins vivant. Pendant que Cristaleyes s'occupait du mortel, Vincent entreprit d'aider les deux autres à se dégager. Il ne se faisait pas trop de soucis pour Emilie mais l'homosexuel (il n'arrivait pas à se détacher de cette idée bien qu'il ait eu une preuve concrète par contact physique de la féminité de la mortelle) avait l'air plus mal en point.

Vive la soirée...

Décidément cette "journée" avait très mal commencé et par suite logique et récurrence immédiate allait forcément mal se terminé.

décidément, c'était pas mon jour ! Je me retrouvais entre deux immortels prêts à s'étriper, je sauvais comme je pouvais un individu au sexe indéterminé, et pour finir je tombais dans un trou.

"Est-ce que tout le monde va bien ?"

Tout le monde allait bien. Un mortel avait sauté dans le trou pour nous aider. C'était bien gentil, dommage que la lycanne se soit empressée de lui sauter dessus. Quelque chose d'autre m'inquiétait: comment allions-nous remonter. Les lycans savaient sauter facilement jusqu'à trois mètres de haut. mais pour le vampir et les deux mortels dont un blessé, ça devenait plus difficile. Je réfléchis et ôtai mon pull pour me le nouer autour de la taille. Pourquoi faisait-il si chaud dans la cave d'un hôtel abandonné depuis apparement longtemps ?

(POST MJ)

Il faisait chaud, oui, et c'était même suspect. La chaleur venait en fait de l'énorme chaudière à première vue endormie. En tendant l'oreille, on aurait pu entendre un crépitement s'en échapper. Soudain, la chaudière s'ouvrit, découpant un rayon de lumière dans l'obscurité de la chaufferie. Et surtout, lâchant une vague de braises ardentes qui roulèrent sur le sol. Des flammes jaillirent de l'ouverture pour aller lécher le plafond, surtout autour du trou, ce qui rendait la remontée plutôt dangereuse. La seule issue semblait être la porte rouillée au fond de la salle. mais l'atteindre n'allait pas être si facile, car la deuxième chaudière se mit en branle. Elle était fermée, cela paraîtrait innofensif...si seulement tous les orifices n'étaient pas bouchés. La pression monta rapidement, au point que le cadran se fissure. Un premier boulon sauta, traversant la pièce à la vitesse d'une balle, manquant de peu la tête de Cristaleyes, et très vite suivi par d'autres.

Shinji n'eut pas le temps de se retourné que quelqu'un ou plutôt, quelque chose, agripa violemment Shinji et, le plaque contre le mur. Sous l'effet du choc, Shinji lâcha sa lampe de poche qui, en s'écrasant par terre, brisa l'ampoule.
Le noir suivit d'un silence de mort s'empara de la salle. Soudain, Shinji entendue la voix de son interlocuteur qui, se révélait être une interlocutrice.

"Jvais te laisser parler, mais decline ton identité avant que je ne te ronge les os et la chair qui va autour."

Shinji fut paralysé de terreur, Il arrêta de respirer, son corps semblait comme figé et, son coeur avait céssé de battre pendant quelque seconde.

Il réussi néanmoins à murmurer :

"Shinji Ilio 24 ans. Habitant de los Angeles dans le quartiers de Chinatown"


L'écho formé par cette phrase se fit lourd, ce qui accentua le coté lugubre de la situation.

L'aggreseur de Shinji ne semblait pas vouloir le lâcher. Au contraire, elle continua a resserrer son étreinte autour du coup de celui ci.

Quelque morceaux du reste de plafond tombèrent laissant apparaitre quelque rayon de lumière. Shinji pu enfin voir son interlocutrice.

Shinji lui donnait la 20 ene. Elle était rousse, de taille raisonnable et assez maigre. Mais, ce qu'il remarque le plus furent les yeux de celle ci. Ils fixaient Shinji comme s'il cherchaient a lire en lui, a trouvé ses plus grandes angoissent. C'est yeux inspiraient la crainte.
En fin, celle ci retira son étreinte du coup de Shinji. Il se mis a genoux, les mains autour du coup et respira. Il articula, non sans crainte de se faire tuer par celle ci:

"-Qui est tu?"

il n'aurait pas la réponse. D'un coup, la chaudière se mis a siffler puis, s'ouvrit sous la pression exercée par les pierres. Des braises volérent en éclat dont une qui frôlât Shinji. Des flammes commencé a réchauffer cette endroit. Dans quelque instant, celui ci deviendrais un four géant. Soudain, les valves volèrent sous l'effet de la pression, a la vitesse d'une balle de pistolet. Soudain, Shinji remarqua qu'une femme vetu de noir c'était levée. Il regarda ce qu'elle regardais : une porte rouillé. Cela était leur seul issus.

Yuko ouvrit lentement les yeux. Il lui sembla qu'elle n'était plus dans la même position que celle dans laquelle elle était à sa dernière phase de réveil, et les cailloux qu'elle sentait dans son dos confirmaient sa pensée. Elle regarda autour d'elle, en bougeant lentement, et vit par un rai de lumière que le nombre de personnes présentes avait considérablement augmenté. Elle vit Emilie, à qui elle fit un faible sourire, le vampire, à qui il faudrait demander son nom, Cristaleyes qui était en train de... tordre le bras à un inconnu, qui venait de se présenter.

Cristaleyes, tu es agressive... Tu va finir par faire fuir les gens...

Elle toussa un peu et chercha du regard où tous étaient.

Ah... Où on est maintenant? Vous essayez de me tuer d'une autre manière maintenant?

Ce disant, elle jetta un regard noir au vampire. Etrangement, dormir un peu lui avait fait du bien. Elle n'était évidemment pas encore prête à cavaler, mais elle sentait qu'elle pourrait se tenir éveillée un moment si on ne lui demandait pas trop d'efforts... D'ailleur, cavaler, elle ne demandait que cela; elle détestait rester sur place. Elle eut alors un doute, et referma son haut, en priant que personne n'ai découvert sa véritable identité...

Avant que Cristaleyes n'eut le temps de repliquer à Shinji que la voix du mortel l'interpella. Le vampire l'avait degagé des decombres mais neanmoins, il semblait toujorus dans un sale état.
Mais la parole lui fut à nouvau coupé par la chaudiere qui lui envoyait ses boulons à plein vitesse à qui elle prit le temps de répondre en criant comme elle aurait repondu à une eprsonne.

"Bon sang, vous voulez tous ma peau ?!"

Elle continuait de regarder le visiteur inquiet et finit par se mettre se mit à son niveau. Elle lui caressa le visage comme elle aurait carssé un chat, avec une expression salace sur le visage.

"Si tu veux pas aimer ton beau visage... (elle se releva et adressa à tout le monde) Va falloir qu'on se tire d'ici et vite !!!"

Elle ne s'inquietait pas de son propre etat ni de cleui des deux autres immortels, mais de la bouffe gâchée et qui plus de sexe masculin serait une grande perte pour elle.
Elle laissa le jeune homme en plan pour prendre l'autre dans ses bras, passant d'un air hautain devant le vampire sans nom.
Direction la porte rouillée en extreme vitesse.

"Qui m'aime me suive...amis celui qui tient à sa vie peut le faire aussi ! ! "

Shinji se releva. Les flammes gagnaient du terrain. Point positif, il ni avait plus de valve, risque en moins. Point négatif, plus de valve, plus de conteneur de pression, il risquait d'y avoir une explosion d'une seconde a l'autre. Il se rua sur la porte et tentais de l'ouvrir... En vain elle était trop rouillé pour pouvoir faire quelque chose. Shinji se retourna et vit que tout le monde c'était relevé. Il avait tous l'air étrange, trop même. Il regarderait sa une fois dehors. Pour l'instant le plus urgent était de sortie de cette fournaise.

Shinji s'acharnait a donner des coups de pieds sur la porte en espérant qu'elle céde. Cela réussi. Les gond venait de sauter. Tout le monde si engouffra et purent sortir de cette enfer.

Une fois sortie et, ayant parcourus quelque mètre, la chaudière explosa réduisant le reste des débris en cendre. L'explosion et le bruit produit par celle ci alertèrent toute la ville. Heureusement, l'explosion et l'onde de choc produit par celle ci coupa l'électricité. Il n'y aura plus l'urgence de ce caché des regards du voisinage

Le groupe au grand complet était sorti de la salle avant que celle-ci ne s'effondre complètement consécutivement à l'explosion de la chaudière. Les plombs avaient aussi sauté et une obscurité totale les entourait maintenant. De plus, bizarrement, on entendait plus rien si ce n'est les respirations. Rappelons nous que nous sommes en plein Los Angeles. Cela accentuait l'impression de tension ambiante rendant l'atmosphère excessivement lourde. En fin pour rajouter au côté "horror movie" du décors, on entendait encore quelques flammes crépiter dans la salle précédente et l'odeur du feu recouvrir la pestilence due au pourrissage des restes des repas de Cristaleyes.
La salle de la chaudière folle étant condamnée, il n'était plus possible de retourner en arrière. Ce n'étaient pas les issues qui manquaient, les sous sol d'un hôtel étant en général de véritable labyrinthe de Pan, le but du jeu étant de trouver la bonne. Tout cela, bien sûr, sans lampe de poche ni source de lumière quelconque pour éclairer la voie.

Vincent restait en arrière du groupe. La soirée était décidément mouvementée. Pour ne rien enlever, l'homosexuel n'avait pas l'air trop en état. Au moins était-il rassuré, les flammes étant contenues dans l'autre pièce. Être coincé ici n'était pas dans son programme de ce soir aussi examina-t-il la situation.
Ils se trouvaient dans un corridor se prolongeant indéfiniment d'un seul côté, l'autre étant bloqué par l'éboulement et l'explosion de la chaudière combinés. Ne sol était jonché de gravats en tous genres: on pouvaient tout aussi bien trouver d'inoffensives pierres que de méchant et vicieux bout de câbles électriques. Le long de ce corridor,à la droite, il y avait moult portes dont certaines étaient fermées et d'autres ouvertes sous l'effet du choc, l'une d'elle étant forcément l'accès aux étages supérieurs. Du côté gauche, le monte charge et aussi l'aération.
Vincent ne voulant pas passer son éternité ici, comenca à longer le corridor sans faire plus attention aux autres qui lui importanent peu pour l'instant. Libres à eux de le suivre.

Voici donc un nouveau coup de théâtre dans la pièce de ce soir : alors que tout semblait sombrer dans un chaos infernal vint une sorte de lueur d'espoir pour les immortels et ce qui semblait être leur hôte, ou un repas mis en suspend allez savoir : tandis que la fumée d'un départ d'incendie commençait a s'élever dans l'immeuble en ruine, une jeune mortel a en juger sa voix venait a les rejoindre dans un fameux pétrin.

je n'étais pas fort loin quand l'explosion vint a raser les fenêtres environnantes, et en même temps rompre le poteau qui soutenais un transformateur électrique. Tout était a présent obscur et seuls les chiens au loin troublaient ce silence tout aussi pesant que les ruines de l'hôtel a présent effondré sur lui même. Avaient ils trouvé la mort ? Ce serait fort déplaisant pour des immortels de voir leur éternité raccourcie. Ceci me fit penser alors a toutes les victimes de la guerre des immortels : tout ce temps gâché mais soit.

Je descendit sans bruit de mon perchoir afin de me confirmer le décès de la bande d'acolytes malgré eux, alors que j'approchais de l'endroit sinistré a ma grande surprise je put a nouveau les sentir, ce fut faible car ils étaient a présent sous terre, je m'assit afin de me concentrer, je put ainsi plus ou moins visualiser leur emplacement sous terre. Dans mon esprit j'accordai une couleur rouge aux hémophages sans doute du a leur affiliation au sang, aux lycans venait le gris, en rapport avec l'astre lunaire quant aux mortels ils étaient blancs, sans rien, fade ...

je vit alors le buveur de sang commencer a s'éloigner du groupe, peut-être étaient ils devant une éventuelle issue mais l'obscurité totale empêchaient bien des choses tout nosferatu qu'il soit tandis que le reste de la bande : 2 lycanes et 2 mortels restaient en retrait, selon moi l'hémophage allait les abandonner par pur égoïsme pour sauver sa propre peau, c'était assez en accord avec le comportement de la race mais assez intolérable même si l'on est entouré d'ennemis.

Conscient de ne pas devoir entrer trop longtemps en contact avec ses gens, je me demanda si il n'aurait pas mieux fallut que je m'en aille. mais quelque chose au fond de moi me disait que ce serait vraiment ignoble de les laisser ainsi. Dilemme : devais-je conserver ma neutralité et ne pas m'impliquer en les laissant mourir de faim et de soif dans ce trou ou devais-je les sortir de la ? Quelques secondes qui semblaient infiniment longues plus tard j'ouvris les yeux et me mis a chercher un point d'accès a ce tunnel, cherchant hâtivement du regard, je put remarquer que la plaque d'égout au milieu de la rue dégageait de la fumée noire, sans doute l'explosion y avait elle ouvert une brèche, je soulevait la plaque sans trop d'efforts aidé par ma force d'immortel et sauta dans le tunnel glauque aux miasmes insalubres et visqueux ...